L’auteur de l’amendement adopté explique: «Le maintien de cet impôt, qui n’est applicable qu’aux opérations réalisées par des intermédiaires établis en France, crée à leur détriment une très grave distorsion concurrentielle par rapport à leurs concurrents étrangers.
C’est au nom de la défense de l’industrie financière qu’il convient de supprimer cet impôt qui rend la place de Paris peu compétitive.»
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