L'UNION DEPARTEMENTALE FORCE
OUVRIERE DE COTE D'OR COMMUNIQUE
:
Pour Force Ouvrière, la fin de la négociation sur
la pénibilité du travail décidée unilatéralement le 16 juillet 2008, par le patronat montre à l’évidence que les employeurs français sont uniquement intéressés par leurs dividendes ignorant ceux
qui les produisent.
« Nos profits nous intéressent, votre santé on s’en moque ! »
C’est le message que reçoivent les salariés à la fin de cette négociation qui les laissent sans dispositif de réparation et de prise en compte de la pénibilité du travail.
C’est une véritable régression sociale organisée depuis la loi de 2003 sur les retraites qui a conduit à supprimer toutes les pré – retraites.
Ne pas prendre en compte la pénibilité, c’est condamner les travailleurs à des conditions de travail de plus en plus dures sans espoir de compensation d’autant que la déstructuration du temps de travail va accroître les difficultés pour les salariés.
FO s’adresse solennellement au gouvernement pour qu’il oblige les employeurs à respecter les salariés et leur travail en leur donnant toutes les protections et garanties auxquelles ils ont droit pour préserver leur santé et en instaurant une cotisation spécifique mutualisée.
La France qui travaille doit pouvoir profiter des fruits de son labeur.
« Nos profits nous intéressent, votre santé on s’en moque ! »
C’est le message que reçoivent les salariés à la fin de cette négociation qui les laissent sans dispositif de réparation et de prise en compte de la pénibilité du travail.
C’est une véritable régression sociale organisée depuis la loi de 2003 sur les retraites qui a conduit à supprimer toutes les pré – retraites.
Ne pas prendre en compte la pénibilité, c’est condamner les travailleurs à des conditions de travail de plus en plus dures sans espoir de compensation d’autant que la déstructuration du temps de travail va accroître les difficultés pour les salariés.
FO s’adresse solennellement au gouvernement pour qu’il oblige les employeurs à respecter les salariés et leur travail en leur donnant toutes les protections et garanties auxquelles ils ont droit pour préserver leur santé et en instaurant une cotisation spécifique mutualisée.
La France qui travaille doit pouvoir profiter des fruits de son labeur.
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