Le secteur Femmes de l’Union Départementale FORCE OUVRIERE de Côte d’Or communique dans sa rubrique « les Femmes énervées » par Aurélie Rotardier:
Femme ta liberté, ce sont tes droits !
Femme ton respect et ta liberté, c’est ton engagement militant !
Femme ton respect, ta place, ta liberté, c’est ton engagement syndical !
Femme ton respect, ton émancipation, ta place, ta liberté, c’est ton adhésion à notre syndicat FO !
Femme d’aujourd’hui ton combat pour ta place dans la société, c’est aussi le notre !
Femme d’aujourd’hui quelques soient tes origines, ton niveau social, ta couleur de peau, etc. :
Viens te syndiquer à FORCE OUVRIERE
Nous avons besoin de toi comme tu as besoin de nous
Nous avons des droits à défendre
Nous avons des droits nouveaux à conquérir
La femme et ses choix de carrière
La femme, la fille, dès son plus jeune âge est cantonnée dans un rôle maternel et domestique. Cela ne fait que peu de temps que la femme étudie et poursuit ses études dans le supérieur.
Aujourd'hui elle travaille tout en conciliant une vie de famille, mais nous constatons que ses choix de profession, la durée du temps de travail, son taux d'activité et la discontinuité dans sa
carrière professionnelle font d'elle une particularité dans le monde du travail.
Bien sûr aujourd'hui la femme n'est pas seulement infirmière, couturière ou institutrice. Elle est aussi cadre, médecin ou juge, libre d'exercer la profession qu'elle souhaite, mais des études de
sociologues montrent qu'elle a tendance à organiser sa carrière professionnelle en fonction de sa vie familiale, à la différence de l'homme.
En effet, on peut constater que la femme est majoritaire dans le temps partiel et minoritaire dans le temps complet. On se rend compte que plus le nombre d'enfants est élevé, moins son taux
d'activité est important. Le jeune âge des enfants a aussi un impact sur l'activité.
D'autre part, on sait que certaines femmes interrompent leur carrière pour des raisons familiales. En effet, il arrive souvent que la femme ne repenne son activité que longtemps après une
grossesse, voire pas du tout dans certains cas. Et lorsqu'elle recommence à travailler après une interruption, il est très probable qu'elle ne travaille qu'à temps partiel.
Enfin, nous pouvons nous rendre compte que la femme n'a pas souvent la même carrière professionnelle que son mari ou que l'homme en général qui travaille plus, gagne souvent plus et a parfois
plus de responsabilités. Ainsi, lorsque le choix s'impose concernant l'arrêt ou l'interruption de l'activité d'un des conjoints, la femme est la première à se sacrifier.
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