![](http://idata.over-blog.com/0/36/83/65/API/2010-02/image0-2010-02-18-16-06-00--0100.jpeg)
![](http://idata.over-blog.com/0/36/83/65/API/2010-02/image1-2010-02-18-16-06-11--0100.jpeg)
![Code.jpg](http://img.over-blog.com/66x100/0/36/83/65/Prud-hommes-2008/Code.jpg)
Il indique que sa réflexion « s’inscrit très clairement dans le sens de la flexisécurité », concept passe-partout qui vise avant tout à favoriser une déréglementation accrue du droit du travail.
De plus, le ministre affirme que « tout le monde considère qu’il est grand temps que le dossier soit rouvert ».
![](http://fdata.over-blog.com/pics/smiles/icon_arrow.gif)
Pas les organisations syndicales, en tout cas pas Force Ouvrière.
Deux ans après une recodification du Code du travail, on ne voit pas la nécessité de remettre en chantier ce qui reste le fondement des relations sociales de ce pays.
En agissant ainsi, le ministre du Travail confirme son analyse très libérale des relations du travail.
Nul doute qu’une commission essentiellement composée de DRH et de représentants patronaux n’aboutisse au résultat recherché, en harmonie avec le calendrier électoral.
Mais, pour Force Ouvrière, le Code du travail, base de la protection des salariés au quotidien, n’a pas à devenir l’objet d’enjeux électoraux.
Le Code du travail n’est pas une « forêt vierge ».
l est parcouru tous les jours par des juges, des juristes et des salariés qui s’y retrouvent parfaitement.
Commenter cet article