«S’il est clair que nous nous associerons aux actions décidées, il est tout aussi clair que nous maintenons notre revendication du retrait ou de l’abandon du projet du loi et nous continuerons toujours à défendre la nécessité d’un appel unitaire à une grève franche de 24 heures qu’écartent, pour l’heure, les autres syndicats», a expliqué Pascal Pavageau qui représentait FO au côté de Michelle Biaggi à cette réunion syndicale.
Car, comme l’expliquait jeudi soir, le leader de la confédération, Jean-Claude Mailly, à l’issue de la dernière démonstration de force des salariés dans la rue, «bloquer le pays, avoir le sentiment, que sur 24 heures, le pays a tourné au ralenti, cela peut contraindre le gouvernement à évoluer».
Constatant que sa position de demande du retrait du projet de loi gagne du terrain, étant, sous différentes formes, reprise aussi par d’autres syndicats, il s’agit pour FO de l’amplifier le 2 et le 12 octobre
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