Pour la cinquième année consécutive le SMIC ne connaîtra pas de «coup de pouce», le gouvernement ayant fait le choix de la simple revalorisation correspondant à
l’inflation.
Force Ouvrière regrette, dans ce contexte de crise financière, que les salariés soient les seuls à payer la crise et que le gouvernement ait retenu les préconisations du groupe d’experts.
Ainsi, la revalorisation du SMIC est portée à un taux horaire de 9 € bruts, soit 1365 euros bruts mensuels.
Le Ministre en confirmant le report de la conditionnalité de branche en application de l’article 27 de la loi en faveur des revenus du travail du 3 décembre 2008, comme l’a suggéré le groupe d’experts, n’incite pas à la négociation de meilleures conditions de rémunérations proche du SMIC.
Force Ouvrière ne peut que déplorer ce report. Il s’agit encore une fois d’une illustration que les sanctions financières ne sont jamais appliquées, à l’image de la sanction financière initialement prévue au 31 décembre 2010 en matière d’égalité salariale pour les entreprises qui n’auraient pas supprimé les écarts de rémunérations…
Force Ouvrière regrette, dans ce contexte de crise financière, que les salariés soient les seuls à payer la crise et que le gouvernement ait retenu les préconisations du groupe d’experts.
Ainsi, la revalorisation du SMIC est portée à un taux horaire de 9 € bruts, soit 1365 euros bruts mensuels.
Le Ministre en confirmant le report de la conditionnalité de branche en application de l’article 27 de la loi en faveur des revenus du travail du 3 décembre 2008, comme l’a suggéré le groupe d’experts, n’incite pas à la négociation de meilleures conditions de rémunérations proche du SMIC.
Force Ouvrière ne peut que déplorer ce report. Il s’agit encore une fois d’une illustration que les sanctions financières ne sont jamais appliquées, à l’image de la sanction financière initialement prévue au 31 décembre 2010 en matière d’égalité salariale pour les entreprises qui n’auraient pas supprimé les écarts de rémunérations…
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