Soucieux de rentrer dans les clous des 3 % de déficit budgétaire, les pouvoirs publics semblent envisager, d'ici à 2022, une contribution des organismes obligatoires de protection sociale (Sécurité sociale, Unédic, retraites complémentaires) à la réduction du déficit public à hauteur de 30 milliards d'euros sur la période.
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