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C2R Bourgogne

  

Economie Faits sociaux

Bilan du volet mutations économiques de la loi du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale

 

L'article 79 de la loi du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale a prévu la réalisation d'un bilan sur la mise en oeuvre du volet mutations économiques du plan de cohésion sociale portant en particulier sur la mise en oeuvre de l'obligation triennal de négocier sur la GPEC, sur le développement de la négocation collective sur les mutations économiques (à travers le développement d'accord de méthode), sur la mise en oeuvre de la convention de reclassement personnalisé et sur la mise en oeuvre de l'obligation de revitalisation.

Le présent rapport n'a pas pour ambition de constituer une réelle évaluation de ces dispositions mais de donner quelques éléments sur les conditions de mise en oeuvre des quatre disposition principales de ce volet du plan de cohésion sociale qui constitue chacune l'un des quatre chapitres. (extrait de l'introduction)

 

DGEFP (Délégation Générale à l'Emploi et à la Formation Professionnelle) S.l. : DGEFP, 2007 - 31 p. - En consultation sur Internet :

http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/074000591/0000.pdf

 De la formation professionnelle à la professionnalité d'une formation

La professionnalisation des formations s'accompagne d'une diversification croissante des spécialités enseignées. Prendre en compte ces spécialités dans l'analyse des relations entre formations et emplois devient nécessaire à l'évaluation des politiques éducatives. Deux approches sont confrontées dans cet article. La première est fondée sur la mise en correspondance a priori des formations et des emplois. L'adéquation est considérée comme une condition de la performance. La seconde part de l'observation des recrutements survenus au cours de l'insertion professionnelle et propose d'analyser la diffusion de chaque formation entre les emplois et l'alimentation des emplois par les formations. Les indices de concentration (de Gini), qui caractérisent alors chaque formation et chaque emploi, sont introduits dans des équations de salaire. Le test des deux approches sur un même jeu de données illustre l'intérêt de la seconde. (résumé éditorial)

Catherine Béduwé, Jean-Michel Espinasse, Jean Vincens.- Formation Emploi, n°99, juillet-septembre 2007 - pp. 103-121

 

Les Français et la mobilité géographique

 

La mobilité résidentielle est l'une des clefs d'adaptation du marché du travail que ce soit pour chercher un emploi ou se former. Plus les actifs sont mobiles sur le marché du travail, plus ils ont d'opportunité pour trouver un emploi. La mobilité professionnelle et la mobilité géographique sont étroitement liées dans l'ensemble des pays occidentaux. Les Français sont relativement peu mobiles : seuls 4 Français sur 4 ont changé de résidence dans les dix dernières années. Favoriser les facteurs de mobilité résidentielle apparaît comme un moyen de promotion et de sécurisation des parcours professionnels.

Cette première enquête réalisée auprès de plus de 4 000 personnes permet de mieux comprendre les leviers et les freins à la mobilité professionnelle au niveau national comme dans chacune des régions.

 

Afpascope, octobre 2007 - En consultation sur Internet :

- l'étude et l'analyse des données chiffrées (12 p.) :

www.afpa.fr/actualites/afpascope/sondages/uploads/Afpascope_Mobilit%E9_G.pdf

- les données chiffrées (21 p.) :

www.afpa.fr/actualites/afpascope/sondages/uploads/Pr%E9sentation_enqu%EAte.pdf

 

Forte progression du taux de reclassement en deux ans

 

Près de la moitié (47,0%) des personnes inscrites en décembre 2006, et susceptibles de bénéficier de l'Assurance chômage, se déclarent en activité six mois après l'inscription et 57,9% ont pu accéder à un emploi au cours des six mois qui ont suivi cette inscription. En progression de plus de huit points en deux ans, ces taux de reclassement varient fortement selon le type de parcours suivi.

Le parcours de recherche accélérée (ACE) détient les taux les plus élevés (respectivement 68,3% et 79,6%), tandis que le parcours de recherche accompagnée (ACO) connaît les scores les plus faibles (26,1% et 33,7%).

Les trois premiers suivant l'inscription semblent déterminants. Cette population accédant à un emploi dans les trois mois conserve une dynamique d'emploi puisqu'un peu plus des trois quarts (77,1%) sont en emploi à six mois. (d'après la présentation éditoriale)

 

Anita Bonnet, Edita Jasaroski, Olivier Rodriguez.- Point Statis, n°30, octobre 2007 - 4 p. - En consultation sur Internet :

http://info.assedic.fr/unistatis/travail/documents/pstatis30.pdf

"Il faut maintenir les peu qualifiés dans l'assistanat"

 

Pour le lauréat de la European Economic Association, notre Etat providence est trop généreux et trop rigide. Il faut davantage compter sur le marché et abaisser le coût du travail. Quitte à ne pas s'acharner à réinsérer les moins qualifiés. (présentation éditoriale)

Entretien avec Gilles Saint-Paul, professeur à la Toulouse School of Economics, lauréat du prix récompensant le meilleur économiste européen de moins de 45 ans.

 

Propos recueillis par Jean-Paul Coulange et Sandrine Foulon.- Liaisons sociales magazine, n°86, novembre 2007 - pp. 8-9

 

Le contrat jeune en entreprise : quels bénéficiaires ? quel rôle dans le parcours d'insertion ?

 

Deux nouvelles études sur le contrat jeunes en entreprise.

L'une s'intéresse aux bénéficiaires pour l'année 2006 et à l'évolution des publics concernés suite à l'ouverture du dispositif à de nouveaux publics.

L'autre porte sur le parcours d'insertion professionnelle des jeunes peu qualifiés qui bénéficie du contrat jeune en entreprise.

 

Le contrat jeunes en entreprise en 2006 : davantage d'entrées suite à l'ouverture du dispositif à de nouveaux publics

Suzanne Casaux.- Premières synthèses, n°46.1, novembre 2007 - 7 p. - En consultation sur Internet : www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2007.11-46.1-2.pdf

Le "contrat jeunes en entreprise" : une étape dans le parcours d'insertion professionnelle des jeunes peu qualifiés

Suzanne Casaux.- Premières synthèse, n°46.2, novembre 2007 - En consultation sur Internet :

www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2007.11-46.2-2.pdf

Semaine nationale de la création/reprise d'entreprises artisanales

 

L'objectif de cet événement est de communiquer vers les porteurs de projet, créateurs et repreneurs sur les services qu'offre le réseau des Chambres de Métiers et de l'Artisanat (CMA). Pendant une semaine les CMA organisent sur l'ensemble de la France des salons, forums, portes ouvertes, tables rondes, visites d'entreprises à l'attention des créateurs et des repreneurs. (présentation éditoriale)

En Bourgogne, différentes manifestations sont organisées tout au long de la semaine, dont :

- le mardi 27 novembre à Dijon, une réunion d'information sur la création/reprise d'entreprises,

- le lundi 3 décembre à Nevers, un forum de la création/reprise/transmission d'entreprises,

- le mercredi 28 novembre à Chalon-sur-Saône, un rendez-vous des partenaires,

- le mercredi 21 novembre à Auxerre, un forum de la création/transmission d'entreprise.

 

Du 22 au 28 novembre, dans toute la France - Pour en savoir plus :

www.artisanat.fr

 

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