Quatre mois après le début des négociations entre les partenaires sociaux,
le gouvernement souhaite toujours faire de cet accord une pièce maîtresse de son dispositif pour inverser la courbe du chômage.
«En l'état actuel des choses il y a trop de divergences entre nos positions, celles que nous avons déposé à Force Ouvrière, et ce que souhaite et que demande le patronat.
Ce sont des mesures de flexibilité que nous considérons dangereuses, et pas suffisamment d'avancées en matière de ce qu'on appelle sécurité d'emploi.», a déclaré Jean-Claude Mailly.
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