En France, le risque de décès des 20% les plus pauvres est près de 2,5 fois plus élevé que le risque de décès des 20 % les
plus riches. C’est aussi le pays où l’impact des différences sociales sur la mortalité prématurée, c’est-à-dire avant 65 ans, est le plus fort. Si la France est la première en Europe pour
l’espérance de vie à partir de 65 ans, encore faut-il arriver à cet âge, notre pays possédant également un taux de mortalité prématurée plus élevé que tous ses voisins européens: 20% de
l’ensemble des décès. Cela ne risque guère de s’arranger quand on sait que, pour des raisons de coût, près de quatre Français sur dix (39%) en 2008 et 40% des étudiants en 2009 ont affirmé avoir
renoncé à un soin, ou l’avoir retardé.
Partager cet article
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
/image%2F0704109%2F20250731%2Fob_663b8b_bandeau-udfo-21.jpg)
![[07/07/2021] Ce qui change](https://image.over-blog.com/tDB-jwuKgHkDK5nCpjYiAPn4b_Y=/400x260/smart/filters:no_upscale()/https%3A%2F%2Fwww.force-ouvriere.fr%2Flocal%2Fcache-gd2%2F3b%2Fa49e5d7f1c0eb46c02bc5272734521.jpg%3F1625732758)
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fcedistic%2Fcamera.png)
/idata%2F0368365%2Fgifs-anim-s%2Fargent_07.gif)